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VILLERS-COTTERÊTS

L'église- Guy Destré
Code INSEE02810
Code postal02600
CantonVillers-Cotterêts
ArrondissementSoissons
Population10490 habitants
PatronSaint Nicolas.
Coordonnées de la mairie
3 rue de l'hôtel de Ville
02600 Villers-Cotterêts
Tél : 03.23.96.55.00
du lundi au jeudi : 8H30-12H et 13H30-18H
le vendredi fermeture à 16H30, samedi : 10h-12h
http://www.mairie-villerscotterets.fr/

Petite ville de l'ancien Valois, bâtie dans une plaine élevée à 70 k. au S.-O. de Laon et 30 de Soissons, autrefois de l'intendance de cette ville, chef-lieu de bailliage, de l'élection de Crespy, diocèse de Soissons, aujourd'hui chef-lieu de canton, de l'arrondissement et diocèse de Soissons.
Cette ville tire son nom de la forêt voisine qui s'appelait autrefois la forêt de Retz. On prétend qu'elle doit sa naissance à une ferme qu'un seigneur de Nanteuil aurait fait bâtir en ce lieu au 6e siècle. D'autres fermes lui ayant été réunies plus tard, il se forma un hameau qui porta d'abord le nom de Villers-St-Georges, lequel fut, par la suite, changé en celui de Villers Col de Retz ou Queue de Retz, dont on a fait Cotterêts. Les séjours fréquents que les rois de la 3e race firent dans ce village y attirèrent des habitants et le transformèrent peut à peu en une petite ville. Ces princes y avaient fait bâtir un château que l'on nommait la Malmaison ; les Anglais le ruinèrent au 15e siècle. Il fut rebâti par François 1er en 1530 plus grand et plus beau qu'auparavant. Ce prince, ainsi que Henri II, François II et Catherine de Médicis y firent de fréquents séjours. Charles-Quint s'y arrêta en 1544 lors de son expédition dans la Champagne, et Charles IX y conduisit sa jeune épouse aussitôt après ses noces. Un grand nombre d'édits furent rendus à Villers-Cotterêts. Le plus important est celui de 1539 par lequel François 1er ordonna qu'à l'avenir les curés tiendraient des registres de baptême. Le château de Villers-Cotterêts étant sortis des mains des rois de France, fut abandonné et tomba en ruines. Le duc d'Orléans songea, en 1750, à le faire réparer et embellir ; ces travaux lui coûtèrent deux millions. Il fit en outre construire dans le bourg l'hôtel de la Vénerie pour 30 000 liv., fit élever, en 1770, les murs du grand parc d'un développement de 17 189 toises pour 500 000 liv., et fit creuser, en 1757, le ru de Thimet et ceux d'Automne et de Savières pour les rendre flottables, ce qui lui occasionna une autre dépense de 130 000 liv. Ce château, encore presqu'entier aujourd'hui, est remarquable par ses sculptures ; il sert de dépôt de mendicité au département de la Seine. Deux communautés religieuses s'établirent à Villers-Cotterêts au 17e siècle. Ce furent d'abord les religieuses de St-Remi de Senlis qui, ayant eu leur maison rasée lors du siège de cette ville en 1589, vinrent se fixer, en 1635, dans la chapelle de St-Georges, d'où leur maison prit le nom de St-Remi-St-Georges. Au moment de la révolution, on y comptait 4 religieuses et 4 converses dont les revenus s'élevaient à 20 242 liv. Les mêmes causes y amenèrent aussi la translation des prémontrés de Clairfontaine en 1676. Cette ville possédait de plus un bailliage, une maîtrise et une capitainerie des chasses, un hôpital tenu par quatre soeurs de St-Lazare, un petit collège, deux écoles tenues par des maîtres, et une fondation de 200 liv. faite par un sieur Lefranc pour l'instruction des enfants pauvres. Il y avait en outre la corporation des ménétriers au nombre de six membres, dont le chef, nommé par le duc de Valois, prenait le titre de Lieutenant général des violons du duché de Valois. Il avait le droit d'inspection sur tous les ménétriers des six châtellenies de ce duché. On remarque dans la forêt une butte conique, portant aujourd'hui le nom de Bellevue, mais qui se nommait autrefois le Mont-aux-Fées ou au Faîte. C'est l'un des points le plus élevé de tout le département, son sommet étant à 255 mètres au-dessus de l'océan ; on l'aperçoit très distinctement de Laon. On prétend qu'il était autrefois fréquenté par des fées qui y rendaient des oracles.
Villers-Cotterêts est la patrie de Pierre Gosset, abbé de prémontré en 1613 ; de Démoustier, l'auteur des charmantes lettres sur la mythologie, et d'Alexandre Davis Dumas de la Pailleterie, général de division sous l'empire.
L'église Saint Nicolas élevée en 1173, n'était alors que la chapelle du chateau bâti par Philippe d'Alsace, et dédiée à St-Maur.
Restaurée au 16ème siècle et alors dédiée à St Nicolas, elle fut confiée aux Prémontrés de Clairfontaine, en Thiérache, venus s'installer à Villers-Cotterêts après la destruction de leur abbaye. Utilisée comme salpêtrière pendant la Révolution, l'église fut rendue au culte peu de temps avant qu'Alexandre Dumas y soit baptisé en 1802.
L'Hôtel de ville (depuis 1795), ancien logis abbatial des Prémontrés de Clairfontaine, fut édifié en 1763 par l'abbé Pierre Richard. Les deux pavillons et la grille en fer forgé furent ajoutés en 1860.
Joyau de la Renaissance où François 1er signa en août 1539 l'ordonnance dite de Villers-Cotterêts dont l'un des 192 articles en langaige maternel francoys et non aultrement tandis que d'autres jettent les bases de l'Etat-civil.
Remarquables escaliers droits à caissons sculptés et chapelle royale de style renaissance avec de belles fresques sculptées de salamandres et de "F" couronnés. Culture en 1760, 800 arp. de terres.
PISSELEUX (Commune rattachée à Villers-Cotterêts (02810) le 01/07/1971)
Pejor Lupus. - 208 habitants.
A un kilomètre à peine de Villers-Cotterêts, quelques habitations de Pisseleux touchent même à cette ville par les rues de Noue et de Largny.
Ce village était assez important autrefois, c’était une forte bourgade alors que Villers-Cotterêts n'était qu'une réunion de quelques pauvres hameaux.
La situation de Pisseleux en faisait la clef de la plaine, de la forêt et de la vallée d'automne. Il devait y avoir un château fortifié avec donjon, tour et tourelle.
Ce château, dit M. de Thury, appartenait à la maison d'Heilly dont faisait partie la célèbre duchesse d'Étampes, Anne de Pisseleux (p. 10, note 3). II ne faut pas confondre le château de Pisseleux avec le château de Noue qui, comme nous le verrons bientôt, appartenait à une autre famille, la famille de Noue.
Ce qui prouve l'ancienneté de Pisseleux, ce sont les découvertes qu'on y a faites, tant dans le village même que dans les alentours. Ainsi on a trouvé, il y a une trentaine d'années, des charpentes carbonisées, des fragments de tuiles romaines, des urnes, des vases, des poteries antiques.
On voit encore aujourd'hui, dans les bâtiments servant de ferme, des vestiges d'anciennes constructions "présentant un certain caractère de grandeur". (Histoire d'un chêne p. 10, note 3). Il est probable que le donjon de la famille d'Heilly s'élevait sur l'emplacement de la ferme actuelle.
A défaut de titres, toutes ces découvertes accorderaient à Pisseleux une origine au moins romaine, sinon gauloise. Ce qui vient confirmer cette assertion, c'est la présence de sépultures antiques constatée tout près des habitations.
En 1809, un ouragan qui éclata avec violence le 18 février arracha, au lieudit la Vente des Tombes, de grands arbres sous la racine desquels on a trouvé trois cercueils en pierre contenant les squelettes d'un homme, d'un enfant et d'une femme. Les recherches continuées ont amené la découverte de neuf autres sarcophages tous en pierre. Les plus grands de ces cercueils avaient environ 2 mètres de long, 40 centimètres de large à la tête et 20 aux pieds. Qu'en a-t-on fait? Ils ont sans doute été détruits maintenant.
Sous les fondations même de l'église de Pisseleux, on a encore trouvé un autre cercueil en pierre contenant un squelette. On a remarqué cette particularité que la mâchoire de ce squelette avait une dent en ivoire attachée avec un fil d'or. Ceci prouva que les fausses dents ne sont pas une invention nouvelle. Il nous est difficile d'assigner une date à ces sépultures que nous n'avons point vues et dont il ne reste aucun dessin ni aucune description.
A l’ endroit appelé en Bury, on a découvert des tuiles romaines à rebord, des poutres carbonisées et des vestiges de fondation. Il est fâcheux que les fouilles n'aient pas été faites ou au moins surveillées avec intelligence; peut-dire aurait-on été assez heureux pour en constater l'importance et préciser l'époque des sépultures et des antiquités découvertes.
Pisseleux était traversé par un chemin soumis au droit de péage, c'est-à-dire que chaque voyageur devait payer un droit pour traverser le pays. Ce droit existait du temps de Carlier, mais la révolution l'a entièrement supprimé.
Il existait, à l'endroit où se trouve aujourd'hui la place du village, une petite église dépendant du doyenné de Coyolles. Le pignon de la nef servait de clocher et contenait deux cloches. Le curé jouissait du tiers des dimes et de la totalité des novales.
Après 93, l'église a été rasée et les matériaux vendus. Depuis, Pisseleux est devenu une annexe spirituelle de Villers-Cotterêts. Le peu de population empêche d'y établir une école, et c'est encore Villers-Cotterêts qui reçoit dans ses établissements scolaires les jeunes enfants de Pisseleux.
Le duc d'Orléans, qui était seigneur suzerain, avait seul la haute, moyenne et basse justice. En 1783, les Seigneurs censiers étaient les Dames religieuses de Saint-Rémy, celles de la Congrégation de Soissons, et les héritiers de M. Daquet (Houiller, p. 330).
Pisseleux a deux dépendances importantes qui méritent chacune une mention particulière :
NOUE et BOURGFONTAINE.
NOUE - comprend la ferme et le château. La ferme fut, pense t’on, le premier château de Noue. Le château est tout près de la ferme, il est composé d'une enceinte fortifiée et d'un corps de logis séparé au milieu de la cour. Ce corps de logis est moderne.
L'enceinte est une construction du XVe et du XVIe siècle; les murs sont assez épais pour former au-dessus un chemin de ronde avec meurtrières. Plusieurs tourelles de distance en distance. La grande porte a un plafond voûté à arceaux; le dessus forme une espèce de donjon au milieu duquel on voit une petite fenêtre à croisillon en pierre, encadrée de pilastres. (Bullet. soc. Soiss. XVI, p. 193).
Ce château est le berceau de la famille de Noue, dont le nom figure d'une manière si distinguée dans les fastes des XI, XII et XIIIe siècles. On retrouve plus tard ce nom dans les époques les plus brillantes du Soissonnais et du Valois.
Valérien de Noue épousa le 23 janvier 1579 Nicole du Sart, fille de Anne du Sart de Thury-en-Valois, gentilhomme de la chambre de Henri III et gouverneur de Meaux.
Au XIXe siècle, une des descendantes de ces gentilshommes, Marie-Louise-Christine de Noue épousa, en 1825, le vicomte Héricart de Thury, conseiller d'État, directeur des travaux publics, inspecteur général des mines, président des Société royales d'agriculture et d'horticulture, auteur de savants ouvragés et notamment d'une brochure intitulée: "Histoire d'un chêne et de ses 14 enfants " dans laquelle nous puisons ces divers renseignements (p. 10, note 2).
Le château de Noue a été, il y a une quinzaine d'années, la résidence du fameux shérif Bou-Maza. C'est ici qu'il demeurait lorsque survint la guerre de Crimée; il demanda et obtint de partir pour l'armée du Caucase, mais nous ignorons complètement ce qu'il est devenu depuis ce temps.

BOURGFONTAINE qui n'est plus qu'une ferme aujourd'hui, était jadis une grande et belle chartreuse, toute enclavée au milieu de la forêt.
On l'appelait indifféremment Bonnefontaine, Barrefontaine, Bord-Fontaine, Fontaine ¬Notre Dame, à cause d'une fontaine qui a sa source entre Baisemont et Bourgfontaine. Le pape Eugène III, dans une bulle, nomma ce lieu Burfontancium.
Le premier possesseur connu de la terre de Bourgfontaine est Pierre de Busémont, ainsi nommé dans un titre de 1157. A cette époque, cette propriété consistait en une métairie, à coté de laquelle était une chapelle dédiée à la Vierge.
La même année, 1157, Pierre de Busémont et d'autres donnèrent au monastère du Lieu Restauré tout ce qu'ils possédaient sur Busémont, Bourgfontaine et Bois Saint-Christophe. Le monastère envoya aussitôt quelques frères convers afin de tirer tout le parti possible des biens donnés.
En 1315, Charles comte de Valois et Mahaut de Chatillon, sa troisième femme, ayant acquis la chapelle et un corps de logis attenant, y placent quelques religieux. Mais ce n'est en réalité que l'année suivante, que fut fondée la chartreuse. La charte de fondation est datée de Villers-Cotterêts, en 1316.
Les hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem possédaient alors les bâtiments et les terres et devaient au comte de Valois une rente annuelle de 1,200 livres. Ce dernier leur proposa de les affranchir de la rente, s'ils voulaient lui abandonner les bâtiments et leurs dépendances. Les religieux acceptèrent et cet échange, soumis au pape Jean XXII, fut approuvé par une bulle de 1316. Aux biens était attaché un revenu de 600 livres qui fut compris dans l'échange: ce revenu suffisait pour entretenir alors 28 religieux.
Dés qu'il fut seul possesseur de tout le terrain, le comte s'occupa de faire construire les bâtiments nécessaires à l'observance de la règle de Saint-Bruno. On y travailla pendant neuf ans.
Enfin, lorsque les bâtiments furent à peu près terminés, et eurent la forme et l'étendue qu'ils avaient encore il y a 70 ans, le comte et la comtesse de Valois, par une nouvelle charte datée de Villers-Cotterêts en septembre 1325, confirmèrent la fondation de la chartreuse et toutes les donations qu'ils lui avaient faites.
Dans la première cour, on avait construit un corps de logis que le comte s'était réservé pour son usage et que le roi Philippe de Valois, son fils, fit terminer.
En 1329, ce corps de logis était achevé, puisque le roi vint l'occuper avec toute sa suite.
La distribution en était combinée de telle sorte, dit Carlier, que le prince pouvait assister aux offices des religieux sans être aperçu et sans causer par sa présence et celle de ses officiers aucun sujet de distraction aux pieux solitaires. Toute communication était interceptée, entre la première cour et les lieux claustraux de manière que le service du roi et les fonctions des officiers de sa maison ne pouvaient en aucune façon détourner les moines de l'observance de leur règle. Il arrivait souvent au roi de passer à Bourgfontaine des semaines entières, sans que, dans le couvent, on remarquât sa présence.
Philippe affectionnait particulièrement "sa chartreuse". En décembre 1329, il rend une ordonnance par laquelle il nomme les religieux, ses chapelains, et leur permet d'avoir un sergent pour contraindre les débiteurs du couvent à payer leurs dettes. L'année suivante, en octobre 1330, par des lettres expédiées de Villers-Cotterêts, le roi déclare prendre les chartreux de Bourgfontaine sous "sa garde et protection". En 1339, il leur accorde "en franche aumône" le droit de pêche dans la rivière d'Ourcq depuis Troesne jusqu'à Marolles.
Comme son père, le roi Jean fit à Bourgfontaine plusieurs voyages secrets. Par son ordonnance de septembre 1350, il confirme les religieux dans leurs possessions : en 1352, il les exempte de la juridiction du bailli du comte de Valois et ordonne qu'ils auraient leurs causes commises devant le Bailly royal de Senlis.
Pendant son exil en Angleterre, Jean leur accorda le droit de pacage dans la forêt de Retz.
La ferme de Bésemont qui était voisine de Bourgfontaine tentait fort les religieux, à force d'instance, ils en obtiennent la cession des prémontrés du Lieu Restauré, moyennant 12 muids de blé de rente. Cet acte fut réalisé 24 juillet 1394.
La chartreuse souffrit beaucoup des guerres civiles des XVe et XVIe siècles. Les Huguenots surtout lui causèrent de grands dégâts.
Sur la fin de 1567, les religionnaires ravageaient le Valois et les paysans des environs pour échapper aux massacres et sauvegarder leurs personnes et leurs objets précieux se réfugièrent à Bourgfontaine. Apprenant que les Huguenots, s’avançant vers La Ferté Milon, approchaient du monastère, les paysans s’apprêtent à la défense et se choisissent un commandant. A la première attaque, les réformés furent repoussés, mais bientôt ils se rallièrent dans l’espoir du butin, et par une feinte adroite, ils tombèrent vivement du coté le plus faible. Les paysans surpris furent culbutés et les soldats pénétrèrent dans l’enceinte, renversant tout sur leur passage. Le couvent et l’église furent pillés, saccagés ; ce qui ne pouvait s’enlever a été détruit.
Ce que l’on regretta le plus, ce fut une espèce de chasse, une petite boite de plomb, richement ornée de sculpture et soutenue par deux anges d’argent ; cette boite renfermait le cœur du roi Philippe de Valois. La soldatesque enleva les ornements d’argent et jeta au vent les cendres du cœur du roi. Et comme si ce n’était point assez de piller et de voler, ils tuèrent sans pitiés tous les religieux qu’ils rencontrèrent ? (Muldrac, p. 63 ; Carlier II, p.622).
Outre les premiers rois de la branche des Valois, la chartreuse de Bourgfontaine reçut plusieurs hommes célèbres. Le plus connu est Nicolas de Clémangis qui fut secrétaire de l’antipape Benoit XIII, recteur de l’Université de Paris en 1393. Persécuté par ses ennemis, il prit le parti de quitter le monde et de se retirer à la Chartreuse pour échapper aux poursuites de ses persécuteurs.
Cette chartreuse était, si l’on en croit dom Martenne (voyage littéraire) cité par Carlier, l’une des plus spacieuses de France ; L’enclos tout entouré de murs était très étendu. Les lieux réguliers consistaient dans une suite de cellules distribuées autour d’un cloitre. Tous les bâtiments étaient vastes et commodes. L’église, sans être aussi belle que celle de Longpont, était cependant encore assez remarquable. Les lambris et les stalles du choeur étaient justement admirés des connaisseurs.
Depuis, la révolution, est venue renverser tout cela. Une partie de ces beautés a été détruite entièrement, une autre partie a servi à décorer l'église de Villers-Cotterêts; le maître-autel est aujourd'hui à l'institution St - Charles de Chauny. La belle chartreuse a été vendue comme propriété nationale et les 30 religieux profès et les 10 frères convers ont dut quitter l'habit de St Bruno et se disperser dans le monde.
Ce n'est plus maintenant qu'une ferme, et de l'antique couvent, il ne reste plus que les murs d'enceinte et la porte d'entrée avec ses meurtrières et ses mâchicoulis. Dans l'intérieur, on voit encore le pignon et quelques parties de l'église, l'entrée de vastes souterrains, et quelques bâtiments de l'ancien cloître qui ont conservé leur cachet antique.

Sources : Dictionnaire Historique de Melleville, Pages jaunes, Wikipédia.
INSEE
Villers Cotterêts et ses environs par Alexandre Michaux 1988

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Informations utiles

Personnalités

NomFonctionNaissanceDécés
CAMBERNIN Pierre Nicolas RégisSecétaire de la Présidence du tribunal de commerce de Paris4 septembre 182012 mars 1882
COLAS Louis Charles Garde-Chef foestier - Maréchal des logis chefvers 178924 ou 25/02/ 1849
DEMOUSTIER Charles- AlbertAvocat puis Ecrivain11 mars 17601801
DESMOUTIER Charles- AlbertAvocat- Ecrivain13 mai 17608 mars 1801 (11 ventose an 9)
DUFOUR Léon FrançoisMédecin principal des salles militaires de l’hospice de Dijon30 mars 184031 décembre 1889
DUMAS Alexandre dit Dumas FilsEcrivain27/07/182427/11/1895
DUMAS Alexandre dit Dumas PèreEcrivain24/07/180205/12/1870
DUSSUCHAL MaxConseiller général11/08/189423/05/1969
GAYE Louis EdouardOfficier d'administration de 1ère classe 10/05/1921
LAVIOLETTE Michel Conseiller général8/01/1944
LAVOILETTE MichelConseiller général8 janvier 1944
POTEL JulesSoldat d'artillerie10/07/188923/03/1963
RINGUIER Louis, Emile, CélestinDéputé de l'Aisne30 janvier 187018 juin 1936
VIEVILLE Abbé Joseph Isidore Julien Curé- doyen16 février 18417 mai 1899

Noms de lieux

LieuTypePériodeSource
Bourg FontaineMaison isolée de Pisseleux-Dictionnaire historique de l'Aisne - MELLEVILLE
Faisanderie (La)Hameau-Dictionnaire historique de l'Aisne - MELLEVILLE
Noueferme de Pisseleux-Dictionnaire historique de l'Aisne - MELLEVILLE
Pepiniere (La)Ferme-Dictionnaire historique de l'Aisne - MELLEVILLE
Pisseleuxfusionavant 1971Archives départementales de l'Aisne, côtes des microfilms
St remiMaison isolée-Dictionnaire historique de l'Aisne - MELLEVILLE
Villare ad Collum ou Caudam Retioe ou Resti ou Juxtà RestumAncien nom-Dictionnaire historique de Melleville, Pages jaunes, Wikipédia, INSEE, Villers-Cotterêts et ses environs par Alexandre Michaux (1988)
Villare ad Cotiam ou RetiamAncien nom-Dictionnaire historique de Melleville, Pages jaunes, Wikipédia, INSEE, Villers-Cotterêts et ses environs par Alexandre Michaux (1988)
Villers queueNom ancien-Dictionnaire historique de l'Aisne - MELLEVILLE

Les gens

Fermiers du Roy
NomPériodeGradePosteNotes
FORQUENOT DE FERTELLE Simon1792Capitaine généralSources: Bms
Instituteurs
NomPériodeNotes
AUTIER née MENGUS Elfride1926 ; 1928Née en 1874. Directrice d'école maternelle. Nommée officier d'académie le 14/07/1928.
BARDOU épouse RICHIER Suzanne Adèle Marguerite1950-1951Institutrice. Voir la même à Fontenoy.
BARRAULT ChristophePrincipal adjoint au lycée européen en ??? Voir le même à Villeneuve Saint-Germain
BEC-CAZALBOU 1964Institutrice adjointe en école maternelle Parc Salançon.
BERIHE Abel LouisInstituteur. Mort pour la France le 11 octobre 1916. Voir BERTHé à Villers-Cotterêts
BERTHé Abel LouisInstituteur. Né le 31 juillet 1894 à Presles et Boves (02). Mort pour la France le 11 octobre 1916 à Sailly-Saillisel (80) suite à des blessures de guerre.
BOHEZ-PERROT 1923 ; 1926Institutrice. 33 ans 11 mois au 31/12/1922.
BONOT-BRIN 1926 ; 1929Institutrice. 41 ans 4 mois au 31/12/1925. Promue au choix de la 3ème à la 2ème classe en 1929.
BOUCHÉ Berthe1923 , 1926Institutrice. 47 ans 1 mois au 31/12/1925.
BOULANGER Renée1948Institutrice. Médaille de bronze en 1948.
CAMBÉDOUZOU 1883Directrice d'école de filles.
CAMUS Marie-FranceJusque 2013Professeure d'anglais au collège européen de 2004 à 2013. Chevalier des palmes académiques en 2004 et officier en 2013. Précédemment au collège Max-Dussuchal. Admise à la retraite en 2013
CARLIER 1881 ; 1884Auteur d'une monographie de la commune en 1884.
CAUSSE Daniel1948 ; 1949Instituteur. Né le 17/07/1916. Mention honorable en 1948.
COLLIGNON LouisA partir de 1883 ; 1885Instituteur à Pisseleux. Auteur d'une monographie de la commune de Pisseleux.
COURTINES MichelAncien proviseur du lycée européen en 2013
CRÉCY Théophile Joseph1866Instituteur adjoint. De la classe 1865
CUVILLIER 1888Nommée institutrice adjointe à l'école maternelle au 01/10/1888
DEMATTE Renée1944Institutrice domiciliée à Pisseleux.
DEMAY Marie Eugénie...1905Stagiaire. Nommée en 1905 à Grugies.
DEMILLY Désiré Octave1914Directeur d'école primaire publique. Promu officier de l'instruction publique en 1914.
DRUART 1937Adjoint garçons maintenu dans la commune.
DUMONT 1881Instituteur. Membre de la Société de Géographie de Laon en 1881.
EVRA 1959-1960Mme
FLIPON Daniel1949Instituteur. Né le 16/03/1916.
GAUDRON Marcel1949 ; 1956 ; 1959-1960Enseigne à  Pisseleux. Né le 03/09/1911.
GLAIZETTE née PRAT AnaïsA partir du 11/04/1913 ; 1926Née le 31 janvier 1885 à Gap (Hautes-Alpes). A enseigné dans les Hautes-Alpes pendant 8 ans. Retraite en octobre 1938
GLOUX née ROBINOT GabrielleDu 01/10/1912 au 30/09/1919Institutrice école de garçons. Voir la même à Montloué.
GOULARD Maurice1949Instituteur. Né le 09/05/1910.
GRELLÉ ÉtienneA partir de 1700Dans la classe où on devait enseigner le latin.
GRENIER Daniel1923Instituteur stagiaire. 24 ans 1 mois au 31/12/1922
HARLEUX Arthur1926Instituteur. 23 ans 1 mois au 31/12/1925.
HERDHUIN André1938 ; 1941...Instituteur.
L'HELGOUACH OdetteDe 1963 à 1981.Directrice de l'école Maucond'Huy. Voir la même à Vivières.
LAGNY-LEGOUGÉ 1923Institutrice. 24 ans 9 mois au 31/12/1922.
LAPLACE 1888Instituteur. Lettre de félicitations de l'I.A. en 1888.
LAPLACE Camille Ernest Aristide1908Directeur d'école publique. Nommé officier de l'instruction publique en 1908.
LATAPPY née FORTUNÉ Charlotte1937Directrice d'école publique. Nommée officier d'académie le 14/07/1937
LATIL-MOULIN 1923 ; 1926Institutrice. 35 ans 4 mois au 31/12/1922
LELOIRE JeanVers 1700Dans les petites écoles des pauvres.
LEQUEUX-CARDON 1923 ; 1926Institutrice. 35 ans 8 mois au 31/12/1922.
LUCAS Marcel1956 ; 1959-1960Directeur de cours complémentaire. Officier d'académie. Né en novembre 1904.
MASSE née SOUBIRE MartheDu 19/01/1898 au 30/04/1899Née le 17/03/1879 à Gardonne (Dordogne). A enseigné à Villers-Cotterêts, Saint-Michel, Agnicourt-et-Séchelles, Thiernu, Soissons, Iviers, Vigneux-Hocquet, Plomion, Jumigny, Vieil-Arcy. Retraite le 01/08/1934
MATÉO Carmen1948Institutrice. Mention honorable en 1948.
MATHIEU née VOISIN Jeanne MarieDu 15/11/1926 au 30/09/1941Née le 15/08/1889 à Saint-Aubin (Nord). A enseigné précédemment dans le Nord. En retraite au 01/10/1941
MÉLÈRE née AUNAY Marcelle Émilienne01/10/1901 au 30/09/1905Née le 29/03/1883 à Condé-sur-Noireau (Calvados). Officier d'académie en 1926. Officier de l'instruction publique en 1934. École normale de Laon de 1898 à 1901. A enseigné à Villers-Cotterêts, Essômes-sur-Marne, Barzy-sur-Marne, Sons-et-Ronchères, Origny-Sainte-Benoîte, Laon. En retraite le 01/10/1936
MONCOND'HUY Louis André1936Directeur de cours complémentaire. Nommé officier d'académie le 14/07/1936. Extrait du Maitron https://maitron.fr/spip.php?article122672, notice MONCOND'HUY Louis, André par Nathalie Viet-Depaule, Claude Pennetier, version mise en ligne le 30 novembre 2010, dernière modification le 3 décembre 2020.Né le 25 octobre 1893 à Trosly-Loire (Aisne), mort le 24 novembre 1940 ; instituteur ; secrétaire de la section de l’Aisne de la Fédération unitaire de l’Enseignement ; militant du PSOP. Fils d’un facteur, Louis Moncond’huy entra à l’École normale de Laon. Instituteur à Nogentel, il fut mobilisé et partit au front. Il revint très gravement blessé (paralysie du bras gauche). Il réintégra l’enseignement, fut nommé à Charly-sur-Marne et entra à la commission exécutive élue par le congrès extraordinaire des Amicales, du Syndicat national des instituteurs et des Comités de Jeunes qui s’était tenu à Marseille les 8 et 9 juin 1919. Il ne cessa dès lors de militer et fut en 1928 secrétaire de la section de l’Aisne de la Fédération unitaire de l’Enseignement. Proche des position de Gilbert Serret* et Jean Aulas*, il participa avec eux au congrès d’Amsterdam contre la guerre en août 1932. Nommé directeur d’école à Villers-Cotterêts, membre de la section locale du Parti socialiste SFIO, Moncond’huy participa dans le département de l’Aisne aux diverses campagnes électorales, animant les comités de soutien à Marius Moutet* aux élections législatives. Il fut en 1938 un militant actif du Parti socialiste ouvrier et paysan (PSOP). Au début de la Seconde Guerre mondiale, après l’exode, il fut affecté en Mayenne. Il revint dans l’Aisne pour mourir le 24 novembre 1940. Il était titulaire de la Croix de guerre, des Palmes académiques et du Mérite agricole. Une école de Villers-Cotterêts porte aujourd’hui son nom. GMF Des militants syndicalistes, pour la plupart des fonctionnaires membres de la CGT, créent en 1934 la Garantie mutuelle des fonctionnaires et employés de l'État et des services publics, société coopérative d'assurances mutuelles contre les accidents. Le premier président de GMF est Louis Moncond'huy, directeur d'école à Villers-Cotterêts. La GMF prend dès ses origines la forme d'une société d'assurance mutuelle "
MONZEIN-MARIÉ 1923 ; 1926Institutrice. 41 ans 9 mois au 31/12/1922.
NICOLAS Paul1923 ; 1927 ; 1930Instituteur. 45 ans au 31/12/1922. Récompense 100 francs 1926-1927 cours d'adultes et œuvres complémentaires de l'école. Médaille de bronze en 1920. Officier d'académie en 1923.
NOËL Augustin Jacques Marie Eugène. Voir le même à La Ville aux Bois les Dizy.
PALIX A partir de 1922Instituteur adjoint
PALIX GiudicelloA partir de 1922Instituteur adjoint. 31 ans 7 mois au 31/12/1922
PAPIN Colinda2013Proviseure du lycée européen
PARCOT Eugène1878 à 1883Instituteur à Pisseleux
PHILIPPE Alfred1923 ; 1926 ; 1930Instituteur. Enseigne à Pisseleux. 45 an 5 mois au 31/12/1922. Médaille de bronze en 1920. Officier d'académie en 1923
PICART Fin du XVIIème siècle
REGNAULT Eugène1881 à 1883Instituteur à Pisseleux.
RIGAL Sylvie Céleste Mathilde MarieDu 01/10/1907 au 30/09/1913Née le 20/09/1888 à Pont-à-Vendin (Pas de Calais). A enseigné à Villers-Cotterêts, Montigny-Lengrain, Vic-sur-Aisne, Crépy. Retraite en 1945 (?)
ROBERT Margueritedu 01/10/1909 au 30/09/1913Voir la même à Seraucourt-le-Grand
ROELS A partir de 1937Adjoint garçons. Précédemment élève-maître.
SAINGRE Hélène2012-2013Principale du collège Max-Dussuchal. Officier des Palmes académiques au 01/01/2013
SERRE Paoli1923Institutrice. 35 ans 11 mois au 31/12/1922.
TAQUET Pierre César EdmondDu 01/10/1908 au 30/09/1910Né le 23/02/1889 à la Ferté-Chevresis. A enseigné dans le Pas-de-Calais, à Villers-Cotterêts, Soissons et Cuffies. Officier d'Académie en 1937.
THÉVENIN Léon Ernest Louisdu 01/10/11 au 30/09/1912 du 01/10/1914 au 30/09/1917 (mobilisé)Voir le même à Laon.
VERGNE LéonA partir d'octobre 1952 ; 1956Précédemment à Armentières-sur-Ourcq jusqu'en septembre 1952. Nommé adjoint mixte en octobre 1952. Instituteur adjoint au cours complémentaire. Né en février 1906.
Maires
NomPériodeNotes
BAQUET Nicolas-Antoine1860Adjoint
BAUR Charles1968Maire Vice-président du Conseil général
BELLIERE Renaud2001/ 2008Maire, notaire
BOURHAIL Myriam2023Conseillère municipale démissionnaire en 2023.
BOUSSERT Aurore2008Adjointe
BRETON Valérie2008Adjoint
BRIFFAUT FranckDepuis mars 2014Maire.
CARON Patricia2008Adjointe
COLLET Jean-François2023Conseiller municipal. Mandat en cours en 12/2023.
CRAMBERT Jean-Pierre2008Adjoint
DARSONVILLE 1820Adjoint Au Maire
DE MARGUERIT 1820Maire
DELPIERRE Sylvie2022Conseillère municipale. Mandat en cours en 2022.
DERVILLEZ 1888Élu 2ème maire adjoint en 05/1888.
DESSIGNY Jocelyn2014 - ...2014 - 2020 : 8ème maire adjoint en charge des associations, fêtes et cérémonies 2020 - juin 2022 : 1er maire adjoint en charge des associations, fêtes et cérémonies. Élu député le 19 juin 2022. Conseiller municipal au 01/07/2022. Né le 29/06/1981.
DUFOUR Fabrice2022Conseiller municipal. Mandat en cours en 12/2023
DUVAUCHELLE Raymond2008Adjoint
EVILLIOT 1900Adjoint
FOURNIER 1900Adjoint
FOURNIER 1900Adjoint
GAYE 1920Adjoint
GERVAIS Jean-ClaudeNé le 09/07/1946 à Hirson. Décédé à Villers-Cotterêts le 18/01/2024. Conseiller municipal de 2001 à 2020. Maire adjoint aux finances. Officier de l'ordre national du Mérite (fonctions syndicales).
GILQUIN Jade2022Conseillère municipale. Mandat en cours en 04/2023
GRÉVIN 1888Élu maire en 05/1888
GREVIN Jean-Louis1920Maire (Pisseleux)
GUILLOT 1820Adjoint Au Maire
JÄHRLING Gerhard2022Maire adjoint délégué aux sports. Mandat en cours en 12/2023
LAVIOLETTE Michel1977-2020Né le 08/01/1944 à Villers-Cotterêts.Maire adjoint aux sports jusqu'en 1989 Conseiller municipal de 1977 à 2020 (dates à confirmer). Conseiller général jusqu'en 2015. Chevalier de la Légion d'honneur. Décédé en 01/2023.
LEBLANC Auguste1920Adjoint
LEFÈVRE Alphonse1888Élu ou réélu maire adjoint de Pisseleux en 05/1888
LEFÈVRE Gaëlle20231ère maire adjointe. Mandat en cours en 04/2023
MAURICE Denis2024Conseiller municipal. Mandat en cours en 01/2024
MIEL François Joseph1888Élu ou réélu maire de Pisseleux en 05/1888
MOUFLIER 1920Maire
NAIGEON 1888Élu 1er maire adjoint en 05/1888
NIGUET 1820Adjoint Au Maire
OUALLE 1920Adjoint
PICOT 1820Maire Pisseleux
PIERRE Jean-Claude2008Adjoint
POIRIER Norbert2008Adjoint en 2008. Conseiller municipal en 05/2023.
PRUSKI Jean-Claude Mars 2008Maire
RADET Marie2008Adjointe
ROUSSEL Jeanne2022Conseillère municipale. Mandat en cours en mai 2023. Conseillère départementale. Mandat en cours en 12/2023.
SAINT-SULPICE Cédric2023Conseiller municipal installé le 27/09/2023 suite à la démission de Myriam BOURHAIL.
SENARD Jean François Léon1855/ 1867- 1882/ 1884- 1893Maire, notaire
VARLET Pierre-Louis1860Adjoint
VENDRAND 1900Maire. Docteur
Meuniers
NomPériodeNotes
GUILLEMOIN Louis François1836Garçon meunier, 23 ans, époux de Louise Sophie PETIT, 21 ans, couturière
Notables
NomProfessionPériodeNotes
CHAPUIS Directeur de la poste aux lettres. 1820
CORNU Percepteur. 1820.
DERVILLEZ Président de la commision de réception1900
DEVIOLAINE Scrutateur- Conseil electoral 1ere section. 1820Inspécteur forestier.
DEVIOLAINE Lieutenant de louveterie. 1820Conservation forestière de l'Aisne. Inspecteur des forêts de S.A..S Mgr le duc d'Orléans.
GLORIEUX EricMembre. Union des Syndicats Agricoles de l'Aisne2008
GREGOIRE Receveur de l'enregistrement et des domaines. 1820Arrondissement de Soissons.
GREVIN Conseiller général1900
LEBEGUE Notaire. 1820
MARSAUX Conseiller, Sous-Préfecture 4ème arrondissement. 1820
MASSINOT Juge de paix1820Arrondissement de Soissons.
MENESSON Notaire. 1820
MENNESSON Amand Julien MaximilienNotaire1811-1831Né 10/09/1781 Boult sur Suippe décédé 30/10/1869 Verberie
MENNESSON Hugues Honoré IsériNotaire et Mairenotaire :11/12/1831-12/03/1840 maire : 11/11/1846-01/08/1848Né 23/07/1803 Roucy décédé 24/08/1865 Villers Cotterets
Mme SURET Receveuse de la loterie. 1820Bureau de Soissons.
NAIGEON Conseiller d'arrondissement1900Maire
PEROT Notaire. 1820
REGNAULT Greffier du juge de paix1820Arrondissement de Soissons.
TETART Receveur à cheval.1820Contributions indirectes, arrondissement de Soissons.
VALISSANT Juge de paix1900
Religieux
NomPériodeNotes
ANCEAU 1679Prêtre curé de Pisseleux
BERTHAULT Philippe1670-1679Prêtre curé de Pisseleux
BONTEMPS Jean Baptiste Armand1864Né le 15 novembre 1837 à Montloué, ordonné prêtre le 21 mai 1864. Vicaire à Villers-Cotterets et curé d'Oigny en 1864, vicaire à Hirson en 1865, curé de Cuirieux en 1866, de Chaillevois en 1868, de Belleau-Torcy en 1877, en retraite en 1881, décédé à Marigny en Auxois le 21 avril 1888.
COCHAIN Né à Saint-Gobain en 1814. Successivement professeur au séminaire de Soissons, curé de Mercin, aumônier du dépôt de mendicité de Villers-Cotterêts, ancien doyen de Moy, supérieur de l’Institution Notre-Dame-de-Laon. Mort à Saint-Gobain le 14 novembre 1872.
DELEMALLE F.1668-1669Prêtre curé de Pisseleux (F. Delemalle ou Delemolle)
DENICOURT Léon1961Vicaire de Villers-Cotterêts, nommé vicaire d'Hirson
GORLIER Charles fin 1700Frère Charles Gorlier religieux Cordelier en charge de la cure de la paroisse de Pisseleux par ordre de l'évêque de Soissons
GOSSET Charles décembre 1701- juin 1719Prêtre curé de Pisseleux, décédé le 2 juin 1719 à Pisseleux, inhumé dans le chœur de l'église St Benoît de Pisseleux.
GRIMBLOT 1927Curé doyen
LEMADRE Pierre1630-1648Vicaire de Pisseleux
MICHAUT M.fin 1719-fin 1720Prêtre desservant la paroisse de Pisseleux
MOREAU 1927Vicaire
MOUFFLARD Toussaint1720-1729Prêtre curé de Pisseleux
NOURRY Antoinevers 1640Curé de Pisseleux
PELARD Nicolas1680-1700Prêtre curé de Pisseleux, décédé le 28 août 1700 et inhumé dans le chœur de l'église de Pisseleux.
PREVOST Jehan1618-1630Prêtre curé de Pisseleu, décédé le 11 août 1630
Santé
NomPériodeNotes
ASSÉMAT U.1931 ; 1949Médecin 11, rue Victor-Hugo
BELLIÈRE Luc.1949Médecin - phtisiologue, éléctro-radiologie. 21, place du Docteur-Mouflier.
BONHOMME 1949Pharmacien. Rue du Général-Mangin
Bosseux Hortense1931Sage-femme
BRASSARD 1894Médecin depuis 1877
Brunelle 1931Pharmacien
Defossé 1931Sage-femme
DESMONS 1894Pharmacien depuis 1871
DUHAMEL Françoise1684Sage femme de Pisseleux
DUVAUX Jean1949Médecin généraliste. 64, rue Demoustier.
FORGUES 1828Médecin en exercice au 01/06/1828.
FORGUES 1828Pharmacien en exercice au 01/06/1828.
FROSSARD Marcel1949Pharmacien. 15, place du Docteur-Henri-Mouflier
LACABANNE 1828Officier de santé en exercice au 01/06/1828.
LAILLE 1894Pharmacien depuis 1882
LECOSSE 1828Médecin en exercice au 01/06/1828.
LEGRAS 1828Sage-femme en exercice au 01/06/1828.
LEMOINE Jeanne1684Sage femme de Villers
Marchand 1931Chirugrien-dentiste
Menu 1931Chirugrien-dentiste
MORET 1828Pharmacien en exercice au 01/06/1828.
Moufflier 1931Médecin
PIERRE 1828Sage-femme en exercice au 01/06/1828.
PREAUX 1894Médecin depuis 1881
Proisy 1931Pharmacien
RAYNAL 1828Officier de santé en exercice au 01/06/1828.
Santin 1931Chirugrien-dentiste
Sarthou 1931Médecin
VENDRAND 1894Médecin depuis 1865
Seigneurs
NomPériodeNotes
BROILARD Adam1148Adam Broilard, ou Broslard ou Brulard, originaire de Dury, seigneur et concierge de Villers Cotterêts. Il se retira dans l'abbaye de Longpont. Enfants: raoul; Guy.
BROILARD Jean1260Seigneur de Villers Cotterêts. Femme: Agnès. Il vendit cette année le domaine de La Malmaison, se réservant un fief qui lui donnait le titre de seigneur de La Malmaison.
BROILARD Jean1269Fils du précédent. Seigneur de Villers Cotterêts. Il vendit ce fief au roi St Louis. Celui-ci donna aussitôt à Jean, son fils, Villers Cotterêts et ses appartenances, fiefs et domaines, avec ce qu'il possédait en fief à Viviers, ainsi que la forêt de Retz avec ses griagiis, droits et appartenances, se réservant toutefois le bois dit la Petite Forêt, près de Cuise. Il lui donna en outre Crespy, Pierrefonds et la Ferté Milon avec leurs châtellenies pour être tenus de lui en foi et hommage-lige. Après la mort de ce prince, Villers-Cotterêts revint au domaine.
BROILARD Raoul1186Seigneur de Villers Cotterêts.
CHABANE de Henry1636Ecuyer, seigneur en partie de Pisseleu, décédé à Pisseleu le 17 novembre 1636 et ensépulturé dans la chapelle Notre Dame (aussi indiqué décédé le 17 novembre 1637 sur la page suivante du registre)
CHANET de Gabriel1671Escuyer et seigneur de Nant, inhumé le 13 février 1671 en l'église St Benoît de Pisseleux. Témoins: François Delagrnage seigneur de ...mont et Denis Le Roy siegneur d'Acquet son oncle.
DACQUET M.1780Seigneur de Pisseleux.
DELAGRANGE François1671Seigneur de ...mont, témoin au décès de Gabriel De Chanet à Pisseleux en févier 1671.
FOSSES de COYOLLES des Isabellevers 1520Elle porta les terres de Largny et Pisseleu en mariage à Antoine de Miremont, seigneur de Berrieux.
FRANCE de Jeanaprès 1269Jean Broilard,seigneur de Villers Cotterêts, vendit ce fief au roi St Louis. Celui-ci donna aussitôt à Jean, son fils, Villers Cotterêts et ses appartenances, fiefs et domaines, avec ce qu'il possédait en fief à Viviers, ainsi que la forêt de Retz avec ses griagiis, droits et appartenances, se réservant toutefois le bois dit la Petite Forêt, près de Cuise. Il lui donna en outre Crespy, Pierrefonds et la Ferté Milon avec leurs châtellenies pour être tenus de lui en foi et hommage-lige. Après la mort de ce prince, Villers-Cotterêts revint au domaine.
FRANCE de rois1524-18ème siècleEn 1518, François Ier voulant récompenser les services de Jacques de Longueval, bâtard de Vendôme, bailli du Valois et de Vermandois, lui donna le château et le parc de Villers Cotterêts. Mais, après sa mort, arrivée en 1524, il en reprit possession. Les successeurs de François Ier gardèrent cette ville jusqu'au 18ème siècle, époque où elle fut donnée à la maison d'Orléans qui l'a conservée jusqu'à la révolution.
LE GUERIN de BRULART Achille1689Seigneur de Brulard, capitaine au régiment Laleillière, demeurant à Villers Cotterêts (parrain de Achille Gabriel Chrestien en 1689)
LE ROY Denisvers 1668-1695Ecuyer, seigneur d'Acquet (ou Daquet) et de Noüe. Epouse: Françoise AUGIAS. Enfants: Gabriel Charles, Claude(f), Françoise Geneviève, Margueritte Françoise Décédé en son château de Noüe le 22 septembre 1695
LE ROY DAQUET Denis François1716Escuyer, seigneur de Noüe et Dacquet. Epouse: dame Marie Anne Manglant décédée à Villers Cotterêts le 14 janvier 1716 et inhumée en sa chapelle de l'église st Benoît de Pisseleux le 16 janvier 1716, âgée de 22 ans.
LEPERE Jacques1678Maistre Jacques Lepère, escuyer seigneur de Marolle.
LONGUEVAL de Charles1585Fils de Jean de Longueval. Seigneur du fief de L'Epine, sis à Villers Cotterêts.
LONGUEVAL de Jacques1518-1524En 1518, François Ier voulant récompenser les services de Jacques de Longueval, bâtard de Vendôme, bailli du Valois et de Vermandois, lui donna le château et le parc de Villers Cotterêts. Mais, après sa mort, arrivée en 1524, il en reprit possession. Les successeurs de François Ier gardèrent cette ville jusqu'au 18ème siècle, époque où elle fut donnée à la maison d'Orléans qui l'a conservée jusqu'à la révolution. Jacques de Longueval est aussi seigneur du fief de l'Epine, sis à Villers Cotterêts, en 1520 et chambellan du roi. Femme: Jeanne de Rubempré, dont 7 garçons et 7 filles.
LONGUEVAL de Jean1524Fils aîné de Jacques de Longueval. Seigneur du fief de l'Epine, sis à Villers Cotterêts. Capitaine des chasses du Valois, baron de Montgerout, écuyer-tranchant du roi.
LONGUEVAL de Philippe16..Fils de Charles de Longueval. Seigneur du fief de l'Epine, sis à Villers Cotterets et de Cramailles?
ORLEANS d' maison18ème-1789En 1518, François Ier voulant récompenser les services de Jacques de Longueval, bâtard de Vendôme, bailli du Valois et de Vermandois, lui donna le château et le parc de Villers Cotterêts. Mais, après sa mort, arrivée en 1524, il en reprit possession. Les successeurs de François Ier gardèrent cette ville jusqu'au 18ème siècle, époque où elle fut donnée à la maison d'Orléans qui l'a conservée jusqu'à la révolution.
PELET Privat Joseph Claramont1785-1871Comte de la Lozère, né en 1785, ancien administrateur des forêts de la Couronne, ancien préfet puis député du département de Loir-et-Cher, ancien pair de France, ancien ministre des finances, ancien membre du Conseil général du Gard, officier de la Légion d’honneur, et de l’ordre de Léopold de Belgique, ancien membre du Consistoire et du Conseil presbytéral de l’Église réformée de Paris, décédé à Villers-Cotterêts, le 9 février 1871, dans sa 86e année.
PISSELEU de Adrien1544Seigneur de Pisseleux. Femme: Charlotte d'Ailly.
PISSELEU de Gobert1315Seigneur de Pisseleu
PISSELEU de Henri1178Seigneur de Pisseleux
PISSELEU de Martinvers 1250Seigneur de Pisseleu. Fille: Stismas, femme de Thomas d'Ambleny
PISSELEU de Odon ou Eudes1216Seigneur de Pisseleux
PISSELEU de Philippe1340Ecuyer, seigneur de Pisseleux.
PISSELEU de Pierre1294Seigneur de Pisseleu. Femme: Jeanne
PISSELEU de Pierre 1353Ecuyer, seigneur de Pisseleux. Femme: Marguerite de Brumières. Enfants: Josseline, femme de Robert de Lenoncourt, seigneur de Passy; N. , femme du comte d'Etampes.
SAINT REMY de Madame1686Dame de St Remy de Pisseleux
ST REMI et ST GEORGES de religieuses1674Le fief de la Cour à Pisseleux appartenant en 1674 aux religieuses de St Rémi et de St Georges de Villers-Cotterêts.
THIZAC de Philippe1539Seigneur de Pisseleu.
TOUT de Philippevers 1730Philippe de Tout ( Thou? Tour?), seigneur de Pisseleux.
VAU de Antoine1637Ecuyer, seigneur en partie de Pisseleu, décédé le 19 septembre 1637 et inhumé dans la chapelle Notre Dame
VILLEROY de Jean BaptisteSeigneur des Roches, parrain de Jeanne Robiche en décembre 1699